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Les procédés de fabrication d'une chaussure

DESMA, ce nom ne vous parle certainement pas, pourtant, il est très présent dans nos vies dès qu'on entre dans le domaine de la chaussure qu'elle soit de mode ou professionnelle. Nous savons tous qu'aujourd'hui, la production marchande de chaussures est soumise à une concurrence extrêmement sévère entre marques. Si tout le monde veut une bonne chaussure, agréable à porter, belle au pied et durable dans le temps, le prix dicte souvent, voire hélas, le choix de l'utilisateur final. Alors l'industrie dite 4.0 vient à point nommé, que ce soit en Chine, dans l'Union européenne de l'Europe Centrale à la France, pour proposer de la productivité avec des « caroussels » gérés par l'électronique et deux ouvriers, 24h/24, 7 jours/7, s'il le faut.

Techniquement, l'industriel allemand DESMA a mis en place à travers le temps des procédés et dispositifs pour fabriquer de façon automatisée, des semelles de chaussure en matière thermoplastique, moulées sur des tiges de chaussures. DESMA n'est rien moins que le leader mondial des machines de coulée et d'injection PU pour l'industrie de la chaussure. On est bien loin du cousu Goodyear à la main ou mécanisé ou du soudé par collage, deux procédés traditionnels de fabrication de chaussures.

Maintenant, qu'est-ce qui intéresse l'utilisateur final du produit que nous sommes ? Indéniablement, la qualité au juste prix. Faut-il dès lors opposer les caroussels de fabrication 4.0 à l'industrie traditionnelle où la main de l'homme autrement dit l'artisanat ou l'emploi reste encore très présent ?

Les deux modèles ont leur place sur le marché. Modèle injecté ou collé, dans les deux cas, le contrôle qualité est là pour valider la mise en carton de la chaussure. A l'avantage de la chaussure 4.0 l'uniformité de la production. L'ordinateur et la machine sont là pour garantir une qualité égale de la production. Là où la main de l'homme est plus présente, il peut par contre arriver qu'une série sorte avec un défaut minime, comme un bandeau de protection moins bien collé, une couture plus faible. Le SAV sera par contre toujours là, en tout cas, chez EBM ou EBER Distribution pour en cas de défaut avéré, remplacer ou réparer la chaussure.

La chaussure 4.0 demande par contre une maîtrise totale du process d'élaboration, de stockage et d'assemblage des composantes chimiques, ce qui peut marquer des différences entre fabricants.

En tout cas, soyez assurés qu'en ce qui concerne la ligne de chaussures présentée par Michel Eber, que ce soit dans la chaussure de sécurité ou dans l'outdoor, elle est composée de modèles haut de gamme, avec une préférence à la fabrication de taille humaine à chaque fois que possible.

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